OGIC a reçu le prix Pyramides d’Argent 2022 dans la catégorie de la Conduite responsable des opérations pour le projet l’Orée du lac, situé au cœur du Parc Princesse au Vésinet (78). Une récompense qui illustre pleinement la vision et les engagements du groupe de concevoir des opérations immobilières qui incarnent sa politique RSE sur tous les aspects.
Le programme l’Orée du Lac, situé en plein cœur du Parc Princesse au Vésinet, a reçu la Pyramide d’Argent de la Conduite responsable des opérations. Parmi les projets retenus dans toute la France par la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI), l’Orée du Lac s’est distinguée par son inscription harmonieuse au coeur d’un parc historique, l’intégration de son architecture à l’histoire de la ville, l’ouverture des habitations sur leur cadre naturel, la préservation de la biodiversité urbaine et ses performances énergétiques et environnementales.
Parrainé par la société Apave, le prix de la Conduite Responsable des Opérations illustre la manière dont le promoteur peut décliner sa politique RSE dans le cadre d’une opération de promotion immobilière. Cette récompense signifie deux choses pour nous : d’une part que notre travail est salué par nos pairs de la Fédération en plus d’être apprécié de nos clients, comme ce fut le cas en 2019 avec les deux Pyramides d’Argent remises à notre projet Ydéal Confluence à Lyon, ou l’année dernière avec la Pyramide d’Argent de la mixité urbaine pour Emergence Lafayette.
D’autre part, que cette nouvelle nature de ville qui est au cœur de notre Raison d’être a su entrer en résonance avec les attentes du grand public comme des professionnels sur les grands enjeux de l’urbanisme du XXIe siècle.
L’Orée du lac : un projet qui incarne nos engagements pour une ville plus verte
Concept innovant d’habitat qui s’érige au plus près de la nature, l’Orée du lac est un exemple d’intégration harmonieuse du bâti dans son environnement : engagés pour créer des lieux de vie qui créent une symbiose avec leur environnement, nous avons pensé tous les espaces extérieurs dans le prolongement du Parc Princesse, comme un véritable espace naturel habité.
Une part importante de la parcelle a été consacrée à la préservation de la biodiversité locale par le biais des sols fertiles existants (clôture du périmètre en sol naturel pour le protéger) et du patrimoine arboré avec la conservation des arbres existants, protégés par des palissades en bois lors du chantier. Afin de respecter la biodiversité et la cohérence du site, la nouvelle palette végétale propose des essences d’arbres présentant un intérêt spécifique pour la biodiversité : par exemple, les aubépines et les noisetiers qui produisent des fruits, le cornouiller et le pommier qui fournissent du pollen. Et, comme tous nos projets, l’Orée du lac vise la certification label Biodivercity.
Conçue par SOA Architectes et l’agence Lambert Lenack, l’architecture des 5 bâtiments du projet fait écho à l’histoire et à la ville dans laquelle elle s’intègre : l’Orée du Lac dévoile deux identités fortes, mariant chacune à leur manière tradition et modernité.
Conscients que le rapprochement de l’homme et de la nature est une source de bien-être pour tous, nous avons veillé à ce que chacun des appartements de l’Orée du lac dispose d’un accès à un espace extérieur : au rez-de-chaussée, une ouverture sur un spacieux jardin comprenant une terrasse individuelle entourée d’arbres pour en préserver l’intimité. Dans tous les étages, les intérieurs sont prolongés d’une loggia, d’un balcon ou d’une terrasse plein ciel, des espaces qui offrent des vues apaisantes et dégagées sur le lac et la forêt.
À lire aussi
Pourquoi la nature en ville doit être au cœur de la fabrique urbaine
Recours à des matériaux biosourcés, panneaux photovoltaïques en toitures-terrasses d’un des bâtiments, l’Orée du lac multiplie les initiatives pour réduire son empreinte environnementale : pour encourager le recours aux véhicules électriques, des bornes de recharge sont d’ores et déjà installées pour 10% des places de stationnement automobiles et 100% des places sont pré-équipées et pourront s’adapter à la demande des occupants !
Ecouter, concerter, co-créer : une nécessité pour réconcilier l’humain et la ville
“Notre conviction, c’est que c’est à la ville de s’adapter à l’homme, certainement pas le contraire” explique Virginia Bernoux, présidente du Directoire d’OGIC. “Pour qu’un projet soit réussi, il faut qu’il soit apprécié par les riverains… la meilleure solution, c’est de mettre en place une préfiguration avec eux : qui est le mieux placé pour parler du quartier où il vit ? Écouter, dialoguer, c’est un fondement totalement nécessaire à la réconciliation de l’humain et de la ville”
S’intégrant sur un site particulièrement riche du point de vue patrimonial et environnemental, nous avons multiplié les occasions d’échanges avec les riverains, à commencer par un forum sur la qualité architecturale. Ensuite, plusieurs ateliers de programmation et de co-conception durant lesquels les riverains ont pu interroger les points stratégiques du projet et de ses usages, afin d’enrichir la programmation des espaces publics, mais aussi sur les questions de mobilité, de densité et des formes urbaines. Une occasion pour nous d’améliorer notre proposition et de l’adapter au mieux aux riverains !
Une démarche de co-construction qui s’est prolongée avec les acquéreurs de l’Orée du lac : nous avons proposé à nos acquéreurs de prendre part au choix des finitions des halls et circulations des parties communes. Plus de 90% des acquéreurs des bâtiments A, B et D se sont exprimés.
Pour contribuer à faire de nos habitants des acteurs d’une ville plus durable, nous leur remettrons un livret d’accueil pédagogique, qui les informe des dispositions environnementales mises en place pour favoriser la maîtrise de l’impact environnemental des logements et leur livre des conseils et des bonnes pratiques à adopter au quotidien pour réaliser des économies d’eau et d’énergie, diminuer les quantités de déchets, gérer les espaces extérieurs et gagner en qualité de l’air.