Dans la continuité de son engagement en faveur de villes plus belles et plus humaines, OGIC soutient la réalisation d’une fresque dans l’ancienne poste de Versailles, reconvertie en lieu d’expériences artistiques et de partage depuis 2016. Réalisée par Julien Colombier, la fresque accompagnera le cheminement des usagers autour de la nature et du végétal.
“Un dialogue entre patrimoine et création, toujours ! C’est dans cette optique voulue par le maire François de Mazières que nous avons imaginé la reconversion de l’ancienne poste de Versailles en un lieu de culture” explique Jean-Marie Guinebert, Directeur des Affaires Culturelles de Versailles.
Depuis son acquisition en 2016, la Ville de Versailles a souhaité faire de ce bâtiment des années 50 un nouveau lieu de vie culturel et multigénérationnel. Situé à seulement quelques pas du Château, l’ancienne poste est un lieu emblématique de la ville qui se transforme au gré des projets qu’elle accueille et rouvre ses portes au public pour accueillir de multiples formes de créations, comme l’explique François de Mazières :
« Nous allons en faire un lieu tourné vers la jeunesse […] Nous allons faire de l’ancienne Poste un lieu d’exposition, de rassemblement. Et les guinguettes y reviendront l’été prochain. Ce sera un lieu ouvert au grand public, un lieu totalement versaillais. » Une ambition qui s’est d’ores et déjà concrétisée en 2020 à travers une exposition intitulée « Réenchanter la ville” réalisée par Quai 36, maison de production d’art urbain qui présentait ses collaborations avec de nombreux artistes : “La volonté c’était de pouvoir montrer la diversité de l’art urbain et tous les possibles, et donc aussi de montrer notre métier” résume Hannah Ramuz, co-fondatrice.
Une œuvre d’art urbain… et végétal !
Fidèlement à ses engagements en faveur du bien-vivre ensemble, de soutien à la culture et des projets artistiques, OGIC a apporté son soutien à une intervention artistique dans l’escalier ouest de la Poste de Versailles, un projet à nouveau piloté par Quai 36 dans le cadre de la Biennale d’Architecture et du paysage 2022 : “C’est une manière originale de mettre en avant le végétal à travers la ville, fidèlement au souhait de François de Mazières” explique Hannah Ramuz au sujet de l’oeuvre de Julien Colombier.
L’artiste a déployé son univers onirique et féerique le long des étages de l’ancienne poste de Versailles : “Pour l’inspiration, nous sommes partis de l’herbier de la végétation de Versailles, que j’ai réinterprétée”. Pour OGIC, ce lien entre le bâti et le vivant est essentiel : “Tout ce qui peut être mis en œuvre pour renforcer le lien avec la nature, et donc une conscience des enjeux naturels, est un pas vers une ville plus apaisée”, résume Elodie Citroën, Directrice de la Communication et de la RSE.
Dans le prolongement de cette végétalisation picturale, l’artiste a choisi d’utiliser des peintures A+ et tous les matériaux qui ne seront pas utilisés pour la fresque “feront l’objet d’un don à l’Ecole des Beaux-Arts de Versailles, pour soutenir la jeune création” précise Hannah Ramuz.
Crédit image : Ville de Versailles / Pierrick DAUL